Théâtre de rue
Une famille trimballe ses roulottes de fortune, sa kermesse détonante… et quoi d’étonnant si un spectacle de foire, foire un peu? A moins qu’on y découvre, d’arnaques tonitruantes en numéros du tonnerre, sous le masque, l’humanité dans sa grande et monstrueuse noirceur.
Crachez donc ces portraits que je ne saurais voir !
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Christophe Counil, Marie Pâris, Fanny Decoust, Johanna Classe, Michaël Egard, Atsama Lafosse, Ornella Farges
Musique: Erwan Laurent
Construction: Arnaud Liégeon, Fanny Decoust, Ornella Farges, Sébastien Wagner
Régie: Juliette Durand Lani
Juillet 2006, Chalon dans la rue
Juin 2006, Fête de la Ville, Montreuil
Mai 2006, Printemps des rues, Paris
février 2006, festival Du Show en Hiver, Nanterre
Octobre 2005, Théâtre Clavel, Paris 12
Juillet 2005, La mostra del Larzac
Juin 2005, présélectionné au Prix Paris Jeune Talent
Mai 2005, Goumen Bis, Paris 11
Avril 2005, la Villa Monbroumpvff, Rennes
Contact Diffusion et Presse :
avalcarne@yahoo.fr
lundi 29 janvier 2007
Portraits crachés
Création 2005
Voisins
La Parole Errante, Montreuil
Juillet 2004
Occupation d'une tour de 7 mètres de haut
Le public circule autour et assiste aux relations de voisinage.
Les faces de cette tour se transforment au gré des fantasmes de ses habitants, prenant la couleur de chaque portrait. Le spectateur est pris dans le piège baroque, celui de la métamorphose.
Un étrange espace, anonyme et à la fois familier. Atemporel et érigé au centre du public, offrant toutes ses faces, des personnages y vivent telles les fourmis d'Escher su leur cercle de Calcius. En son coeur comme sur cette masse improbable, des circulations multiples sont proposées: des échelles, des passerelles, des escaliers relient les étages, et on ne sera pas surpris de voir quelqu'un entrer par le toit et ressortir par la cave.
Cette non-histoire croise des vies de tout temps et mêle l'impact de l'image, le silence du corps, le goût des mots, l'innocence/cruauté du clown/bouffon, au détour d'une tragédie sur le fil du rasoir.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Benjamin Bernard, Christophe Counil, Natacha Davidovic, Fanny Decoust, Michaël Egard, Ornella Farges
Scénographie: Fleur L'Ecuyer, Thierry Cintas
Régie lumière: Anne Dutoya
Juillet 2004
Occupation d'une tour de 7 mètres de haut
Le public circule autour et assiste aux relations de voisinage.
Les faces de cette tour se transforment au gré des fantasmes de ses habitants, prenant la couleur de chaque portrait. Le spectateur est pris dans le piège baroque, celui de la métamorphose.
Un étrange espace, anonyme et à la fois familier. Atemporel et érigé au centre du public, offrant toutes ses faces, des personnages y vivent telles les fourmis d'Escher su leur cercle de Calcius. En son coeur comme sur cette masse improbable, des circulations multiples sont proposées: des échelles, des passerelles, des escaliers relient les étages, et on ne sera pas surpris de voir quelqu'un entrer par le toit et ressortir par la cave.
Cette non-histoire croise des vies de tout temps et mêle l'impact de l'image, le silence du corps, le goût des mots, l'innocence/cruauté du clown/bouffon, au détour d'une tragédie sur le fil du rasoir.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Benjamin Bernard, Christophe Counil, Natacha Davidovic, Fanny Decoust, Michaël Egard, Ornella Farges
Scénographie: Fleur L'Ecuyer, Thierry Cintas
Régie lumière: Anne Dutoya
Motel
VISITE GUIDEE
Le 206, Montreuil
Juin 2003
Visite guidée d'un motel sur 3 étages
Une micro-société échoue dans un macrocosme sans passé ni avenir.
Le danger n'a pas de visage et l'innocence est un délit.
Le public est pris à témoin de l'éternel recommencement du quotidien, du réveil au dîner, de la salle de bain à la salle à manger, glissant vers la folie ordinaire.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Fanny Charmont-Moreau, Christophe Counil, Michaël Egard, Ornella Farges, Manon Quérel
Le 206, Montreuil
Juin 2003
Visite guidée d'un motel sur 3 étages
Une micro-société échoue dans un macrocosme sans passé ni avenir.
Le danger n'a pas de visage et l'innocence est un délit.
Le public est pris à témoin de l'éternel recommencement du quotidien, du réveil au dîner, de la salle de bain à la salle à manger, glissant vers la folie ordinaire.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Fanny Charmont-Moreau, Christophe Counil, Michaël Egard, Ornella Farges, Manon Quérel
Entre peaux
ENTRESORT
La Guillotine, Montreuil
Du 9 au 20 avril 2003
Parcours de 30min dans un labyrinthe
Cela pourrait être un musée dont les collections se laissent aller au jeu des hommes, une grande mascarade orchestrée par des objets indisciplinés...Le public pénètre dans un dédale de couloirs, accueilli par le maitre des lieux qui présente son étrange collection: au quatre coins du labyrinthe, des "créatures" apparaissent derrière leurs caSes, et trouvent chez le spectateur une oreille attentive à leur logorrhée. Mais les invités sont pretexte à la révolte.
Enseigne court-circuitée d'une rue en vitrine. C'est un jeu une apnée une danse une impasse un labyrinthe. Une bande à dessiner. Une balade dans un carnaval latent.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Fanny Charmont-Moreau, Christophe Counil, Michaël Egard, Ornella Farges, Manon Quérel
Scénographie/construction: Jérémy Wagner, Sébastien Wagner
La Guillotine, Montreuil
Du 9 au 20 avril 2003
Parcours de 30min dans un labyrinthe
Cela pourrait être un musée dont les collections se laissent aller au jeu des hommes, une grande mascarade orchestrée par des objets indisciplinés...Le public pénètre dans un dédale de couloirs, accueilli par le maitre des lieux qui présente son étrange collection: au quatre coins du labyrinthe, des "créatures" apparaissent derrière leurs caSes, et trouvent chez le spectateur une oreille attentive à leur logorrhée. Mais les invités sont pretexte à la révolte.
Enseigne court-circuitée d'une rue en vitrine. C'est un jeu une apnée une danse une impasse un labyrinthe. Une bande à dessiner. Une balade dans un carnaval latent.
Mise en scène: Karine Abela
Comédiens: Fanny Charmont-Moreau, Christophe Counil, Michaël Egard, Ornella Farges, Manon Quérel
Scénographie/construction: Jérémy Wagner, Sébastien Wagner
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